Les répétitions s’enchainent trois ou quatre fois par semaine. Désormais, il nous faut de grands terrains pour répéter dans un espace équivalent à celui de To’ata. Nous faisons des filages, Kohai fignole les entrées et sorties du spectacle. De mon côté, ma chorégraphie pour mon solo est achevée, je commence a bien la maîtriser, je me filme et je regarde ce que je peux améliorer. J’y consacre beaucoup de temps, j’y pense tout le temps. Tahaki de son côté, se prépare également pour le concours.